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Delphine Batho, ministre de l’Écologie, du Développement durable et de l’Énergie, et Stéphane Le Foll, ministre de l’Agriculture, de l’Agroalimentaire et de la Forêt, ont signé le Jeudi 16 mai 2013 le plan d’action national loup et trois arrêtés nécessaires à sa mise en œuvre.
Objectifs du Plan d’action nationale Loup 2013-2017 : gestion différenciée selon les territoires
Ce plan d’action national vise à mettre en place une gestion différenciée selon les territoires comprenant des mesures graduées adaptées aux différents systèmes d’exploitation et à la pression des prédateurs. De plus, les mesures de protection et d’indemnisation sont améliorées. Les conditions des tirs d’effarouchement et des tirs de défense pour prévenir la survenance de dommages importants aux élevages évoluent dans le sens d’une territorialisation et d’une réactivité accrues.
Le premier arrêté fixe les conditions et limites dans lesquelles des dérogations aux interdictions de destructions de loups peuvent être accordées. Le deuxième fixe à 24 le nombre maximum de loups dont la destruction pourra être autorisée pour la période 2013-2014. Le troisième fixe la liste des départements dans lesquels peuvent être délimitées des unités d’action au sein desquelles certaines interventions sont facilitées : le Vaucluse et la Lozère font leur apparition dans cette liste.
Le loup reste une espèce protégée dont la population continuera d’augmenter mais dont l’état de conservation permettra de déterminer, selon une nouvelle méthode scientifique, le nombre maximal de loups qui pourront être prélevés lors de ces opérations.