Ce n’est rien de moins que l’après-Kyoto qui doit se décider à Copenhague en décembre prochain. Rappelons que le protocole de Kyoto, programme international de lutte contre le changement climatique par la réduction des émissions de gaz à effet de serre, a été négocié en 1997. Il a été ratifié par 175 pays qui se sont engagés à atteindre, en 2012, un objectif de réduction de leurs émissions de gaz à effet de serre d'environ 5 % par rapport aux émissions répertoriées en 1990. Les engagements de Kyoto prenant fin en 2013, doit émerger du Sommet de Copenhague un nouvel accord international de lutte contre le réchauffement climatique à la hauteur des enjeux environnementaux.
Dans la perspective de ce rendez-vous majeur dans la capitale danoise, plusieurs réunions préparatoires se sont tenues en 2009 : forum des économies majeures à Paris, réunion des pays les plus pollueurs de la planète au Mexique, réunion des 40 plus grandes villes du monde à Bruxelles, réunion de la Convention cadre des Nations Unies sur le changement climatique à Bangkok… Un ultime cycle de négociations du texte qui servira de déclaration finale pour la Conférence sur les changements climatiques de Copenhague s’ouvrira en septembre puis en novembre.
Développement des énergies renouvelables, réduction du recours aux énergies fossiles, amélioration de la performance énergétique des bâtiments, contraintes sur certaines industries polluantes, recours aux véhicules moins émetteurs de CO2, développement des transports collectifs... : la communauté scientifique et les membres du Groupe d'experts Intergouvernemental sur l'Evolution du Climat (GIEC) attendent la division par moitié des émissions de gaz à effet de serre d'ici à 2050 par rapport à celle de 1990 afin de limiter l'augmentation des températures à 2 °C.
Le dispositif de contrôle périodique obligatoire des pulvérisateurs est effectif depuis le 1er janv (...)
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