Qui peut supporter une baisse moyenne de 34 % de son revenu ? Quelle profession est prête à accepter cela après la chute de 20 % de 2008 ? C’est le plus bas niveau de revenu depuis 30 ans : 14 600 € par an pour un dur labeur, comment y croire ? Les productions les plus exposées à la baisse des cours sont laminées avec des chutes de revenu qui dépassent les 50 %, qui dit mieux ? Le plan de soutien au secteur ne représente, dans cette situation, qu’une petite bouffée d’oxygène qui ne compense pas les pertes et devra être renforcé.
Face à ce tableau si sombre, il faut retrouver des voies d’espoir, des raisons pour y croire, sans pour autant berner les agriculteurs français. Il y a des idées fortes à porter. Parmi celles-ci une PAC plus souple, plus réactive, plus efficace, régulatrice des marchés ; des filières mieux structurées qui sauront construire un prix rémunérateur pour les agriculteurs et sécurisant pour les consommateurs, une maitrise indispensable des charges, notamment sociales et environnementales.
La FNSEA demande aux Responsables politiques de ne pas oublier que l’agriculture est un bien précieux et stratégique pour notre pays : il est urgent d’agir pour donner des perspectives !
Le dispositif de contrôle périodique obligatoire des pulvérisateurs est effectif depuis le 1er janv (...)
publié par shweta
publié par preeti
Comment passer une boite newholland8360 range command 30km/h en 40km/h
publié par dirahot46911