José Bové, en état de récidive légale, était jugé au côté d'Isabel Ibarrondo contre laquelle le procureur a requis une amende de 2.000 à 3.000 euros, assortie en partie du sursis.
Le délibéré sera rendu le 2 avril.
Le procureur, Patrick Mathé, a fait valoir qu'il s'était écoulé plus de deux ans depuis les faits et qu'il fallait prendre en compte le moratoire sur les cultures OGM adopté par la France depuis les faits. Par ailleurs, le préjudice matériel de cette action des faucheurs s'élevait à 200 euros.
"Tout cela n'excuse pas un geste illégal", a toutefois souligné M. Mathé. Les avocats des deux prévenus, Me Nicolas Gallon et Christine Etelin, ont plaidé la relaxe, les faits étant intervenus selon eux "au nom de l'état de nécessité".
"Ce qu'a demandé le procureur, c'est de l'ordre du symbolique", a estimé auprès d'un correspondant de l'AFP, à l'issue de l'audience, José Bové, ajoutant qu'il n'y avait "plus à parler de saccage comme cela avait été évoqué à l'époque".
Ce procès devait se tenir en août mais avait été renvoyé en raison d'une question de procédure sur l'immunité parlementaire du député européen José Bové.
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