Parmi les "sources de conflits ou de régression" citées, ils notent que dans la nouvelle agence l'expertise n'inclurait pas la société civile, ce qui "constitue une exigence scientifique si l'on veut éclairer de façon réelle les choix de gestion du risque". Il faut pouvoir "écouter la société", disent les signataires, qui craignent "des insuffisances de transparence et de débats
contradictoires".
Pour eux, "l'indépendance des activités scientifiques de coordination de réseaux d'expertise et d'évaluation doit être garantie" avec des pôles "clairement identifiés" disposant d'autonomie.
Ils soulignent enfin que la diminution des budgets alloués aux expertises sanitaires "serait particulièrement inopportune, alors que les besoins augmentent dans le domaine des risques émergents", citant les nano-particules, les perturbateurs endocriniens ou les pesticides.
Les signataires demandent que le décret "apporte toutes les garanties d'indépendance, de transparence et de démocratie de l'expertise".
crédit photo : www.sportsetsanté.com
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