Des universitaires africains, européens, américains,asiatiques ainsi que des décideurs publics et des spécialistes des questions dedéveloppement participent jusqu'à samedi à ce colloque sur le thème: "l'Afrique 50 ans après: la faim sur le continent africain".
"Il n'y a pas de fatalité, l'Afrique peut nourrir ses propres enfants (...)Le capital humain est sans contexte le plus important du développement agricole", a déclaré dans son dicours d'ouverture M. Sidibé.
La représentante du Programme alimentaire mondial (PAM) au Mali, Alice Martin-Daihirou a rappelé que "90% des enfants malnutris vivent en Asie et en Afrique. (...) En 2050, il y a aura 9,1 milliards de personnes dans le monde et il va falloir augmenter de 70% la production agricole actuelle", a ajouté Mme Martin-Daihirou, au nom de l'organisme d'aide alimentaire de l' ONU.
"La révolution verte, exige une solidarité (...) Nos dirigeants, nos élites doivent réagir", a déclaré de son côté M. Abdoulah Coulibaly, vice-président du "Forum de Bamako".
Le dispositif de contrôle périodique obligatoire des pulvérisateurs est effectif depuis le 1er janv (...)