"Il n'y a pas une campagne antialcoolique qui se passe sans parler du vin et les appellations régionales en subissent le contrecoup", abonde Max de Lestapis, courtier en vins.
Sur le stand Saint-Emilion-Pomerol-Fronsac, le chef de cave Benoît Vincendeau déplore qu'on ait "amalgamé le vin avec d'autres produits, comme des spiritueux ou des alcools plus forts". Or "c'est un produit culturel de qualité qu'on s'attache à promouvoir", ajoute-t-il.
Sur les stands qui s'étendent le long d'une "route des vins de 2 km" au coeur de Bordeaux, les visiteurs dotés de pass limités à douze dégustations sont servis à mi-verre et encouragés à cracher.
"Ici ce n'est pas la fête de la bière à Munich", s'exclame Dominique Fauvette, responsable nationale de la commission vin, nutrition et santé de l'Union des oenologues de France. "On n'est pas sur la consommation mais sur la dégustation, c'est une fête des découvertes des appellations", souligne-t-elle, devant une affiche proclamant "Dégustez, crachez!".
Sur leur stand, des oenologues fraîchement diplômés apprennent au visiteur le B.A.-BA de la dégustation. Des intervenants d'Alternativ'Festive, sous l'égide de la Ville et de la préfecture, encadrés par l'Association nationale de prévention en alcoologie et addictologie (ANPA), distribuent les limites autorisées.
A Bordeaux, "le dispositif de la prévention alcool va à l'encontre de la diabolisation du vin", souligne Stéphane Toustou, chargé de mission prévention de la délinquance à la ville.
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