Selon le syndicat, il est primordial de maintenir un budget au minimum identique à son niveau actuel. Il a déjà connu une forte maitrise et sa part dans les dépenses communautaires est en baisse sensible (33% en 2013 contre plus de 50% en 2000).
La FNSEA rappelle que le secteur représente moins de 1% de toutes les dépenses publiques de l’UE et note qu’il conviendra de réévaluer le budget à hauteur des besoins générés par l’entrée de nouveaux Etats membres.
Par ailleurs, la FNSEA affirme qu’elle n’acceptera pas que la part du budget de la PAC affectée à la France soit remise en cause car elle est le juste reflet de la place de l’hexagone dans l’ensemble européen. Par ailleurs, le syndicat ne conçoit pas de paiements directs harmonisés « à l’hectare » au niveau européen : « les enveloppes d’aides directes ne peuvent qu’être réparties entre états membres de manière équitable en tenant compte de critères objectifs telles que les conditions de production ou les parités de pouvoir d’achat ».
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