"Il faut que des négociations s'ouvrent dans les jours qui viennent et qu'elles aboutissent rapidement", a prévenu Bruno Le Maire dans une interview publiée dans Ouest-France.
"Les producteurs doivent savoir à quel prix leur sera payé le lait en 2010.
Et ils doivent être justement rémunérés pour le difficile travail qu'ils font", a-t-il ajouté, avant de préciser que "l'accord du 3 juin 2009 doit rester la base de travail".
Sur la question de la compétitivité entre la France et l'Allemagne, mise en avant par les industriels, car le lait est moins cher outre-Rhin, Bruno Le Maire a estimé que la filière française "a tous les atouts pour réussir".
"La bataille de la compétitivité par rapport à l'Allemagne, car c'est là le noeud du problème, peut être gagnée. Mais il faut sortir des crises à répétition", a-t-il dit.
Le ministre a annoncé qu'il présenterait à la rentrée un plan de développement de "plusieurs dizaines de millions d'euros" pour aider les filières lait et élevage, tant au niveau des producteurs que des coopératives et des industriels. "Ce plan reposera notamment sur l'innovation et la recherche", a-t-il précisé.
es éleveurs en colère vont être reçus jeudi, jour de leur ultimatum, par les laiteries pour tenter de relancer les négociations sur les prix du lait du troisième trimestre.
Les coopératives, Laïta et Sodiaal (qui fabrique notamment les yaourts Yoplait), et les industriels comme Lactalis (Camembert Président), Bel (Vache qui rit) et Bongrain (Caprice des Dieux) se sont dit prêts à accueillir les délégations de producteurs.
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