"Il y a des choses qui sont pas acceptables pour la France", a souligné le ministre français de l'Agriculture, Bruno Le Maire, en marge d'une réunion avec ses homologues européens à Luxembourg.
"On a besoin de moyens d'intervention (sur les marchés), on a besoin de filets de sécurité, on a besoin évidemment d'avoir des soutiens financiers aux exploitations, notamment pour leur permettre d'avancer dans l'agriculture durable", a insisté M. Le Maire.
"C'est un point de consensus entre une grande majorité d'Etats européens", a-t-il précisé.
"Les positions sont connues", a confirmé le secrétaire d'Etat allemand à l'Agriculture, Robert Kloos, dont le pays a signé avec la France une "position commune" sur la réforme de la PAC qui défend ces idées.
L'Italie aussi considère comme une priorité de "donner une réponse aux plus grand défi des années passées, c'est-à-dire la volatilité des prix", a dit le ministre italien Giancarlo Galan.
Dans un document publié la semaine dernière sur l'avenir du budget de l'UE, Bruxelles envisage trois options pour réformer la PAC.
La première consisterait à "se limiter à éliminer certaines disparités existant actuellement en garantissant par exemple une plus grande équité dans la répartition des aides directes entre États membres et agriculteurs".
La seconde option prône une "révision approfondie" de la PAC pour qu'elle "devienne plus durable" et "en instaurant une approche plus ciblée des priorités".
Le document envisage enfin une troisième option d'une "réforme plus radicale" qui consisterait à abandonner "progressivement l'aide au revenu et la plupart des mesures de marché" en "donnant la priorité aux objectifs en matière d'environnement et de changement climatique par rapport aux dimensions économique et sociale de la PAC".
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