Actuellement la hausse des cours mondiaux du blé, maïs, soja, etc profite aux agriculteurs de grandes cultures. En revanche, elle pénalise les éleveurs qui en ont besoin pour l'alimentation animale, ces derniers ne pouvant répercuter la hausse des prix, maintien du pouvoir d'achat oblige.
Pour tenter de résoudre cette équation, le ministre de l'Agriculture, Bruno Le Maire, avait appelé en janvier à un rapprochement des deux filières végétale et animale pour la mise au point de contrats destinés à se protéger contre les fluctuations du marché.
"Depuis le mois de septembre, les partenaires travaillent aux outils d'une contractualisation entre les filières céréales-oléo-protéagineux et d'élevage qui permette d'atténuer les excès de la volatilité des prix pour les matières premières nécessaire à l'élevage en particulier de porcs, de volailles et de bovins (viande et lait)", a assuré Xavier Beulin, lors d'une conférence de presse.
Le patron de la FNSEA a toutefois souligné que ce type de démarche ne pourrait aboutir que si la grande distribution participait au dispositif.
"Il est indispensable de mettre en place une contractualisation en aval" (avec la distribution, ndlr) a souligné Xavier Beulin. "Il importe de donner aux éleveurs une visibilité sur leurs prix de vente", a-t-il insisté.
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