Deux indicateurs ont été retenus pour réouvrir les négociations: d’un côté, « une forte variation des prix de l’alimentation animale », de l’autre « une évolution excessive de la part du coût de l’alimentation dans le prix du produit au stade de la production » (sur les bases des indices IPPI et ITAVI). Aujourd’hui les conditions sont simultanément réunies pour une réouverture des négociations. Mais la Grande Distribution, prétextant qu’elle a déjà accepté deux hausses de ses fournisseurs, souhaite en rester là. Le compte est pourtant loin d’y être, les entreprises d’abattage n’ont pu obtenir qu’environ la moitié de l’impact lié à l’augmentation du prix de l’aliment.
Les GMS doivent comprendre que la répercussion de l’intégralité des augmentations des coûts liés aux matières premières est un enjeu majeur pour l’avenir même de la filière.
Les abattoirs qui jusqu’ici avaient « fait tampon » en prenant à leur charge la hausse du prix des aliments ne peuvent plus soutenir cet effort, au risque de voir leur situation financière se dégrader. Les contrats avec les éleveurs risquent d’être rompus unilatéralement si la Grande Distribution ne change pas rapidement de position.
"Que chacun prenne ses responsabilités" lance Coop de France.
Le dispositif de contrôle périodique obligatoire des pulvérisateurs est effectif depuis le 1er janv (...)
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