En octobre 2011, le secteur de l’alimentation animale a produit 1 662 800 tonnes d’aliments composés, soit une évolution de -5,2% par rapport au mois d’octobre 2010, malgré un même nombre de jours ouvrés. La production d’aliments bovins diminue de 11,6 %, sous l’effet de la douceur de l’automne et de la diminution du cheptel au printemps. Les aliments porcs diminuent de 5,1%. Cette baisse concerne les porcs engraissements à hauteur de - 5,5%, les porcelets avec -5,0% et les truies avec -3,6%. Les aliments volailles sont également en baisse ce mois-ci avec une évolution à -1,7%. Cependant, il faut distinguer les aliments poulets (+1,1%) des aliments pondeuses (-5,4%) et pintades (-5,2%).
L’évolution de la production d’aliments pour les animaux sur les quatre premiers mois de la campagne 2011-2012 est négative (-2,5%) à cause d’une baisse importante en bovins (-7,4%) et en porcs (- 2,3%). Du côté des aliments volailles, la production est relativement stable par rapport à 2010. Néanmoins, il faut nuancer selon les types d’aliments : autour de +2% pour les aliments poulets et dindes, alors que la production d’aliments pintades diminue fortement (-7,2%).
Sur les dix premiers mois de l’année 2011, 16 847 400 tonnes d’aliments ont été produites. Les aliments bovins sont en baisse (-1,4%) à cause d’une moindre demande depuis l’été, non compensée par la forte production d’aliments au printemps. Les aliments volailles sont en progression de + 0,4% tandis que les aliments porcs diminuent de - 1,3% avec une forte baisse des aliments truies (- 4,2%) et porcelets (-3,0%).
Hausse de la TVA : une issue incertaine ?
Parmi les mesures envisagées pour réduire l’endettement de la France, l’évolution de la TVA est annoncée.
Le projet de loi de finances rectificatif, visant de relever le taux réduit actuellement de 5,5% à 7% dès le 1er janvier 2012, a été adopté en première lecture par les députés. S’il n’a pas été confirmé par le Sénat, le texte devrait être définitivement adopté le 21 décembre. Les aliments pour animaux (matières premières et aliments composés) sont concernés pour ceux qui à ce jour sont soumis au taux réduit (certains produits restent soumis à taux plein)
La mise à niveau des textes fiscaux au regard de l’évolution de la réglementation sur la commercialisation des aliments pour animaux n’est pas encore achevée , ce que regrettent Coop de France et SNIA, car des questions d’interprétation lors des contrôles fiscaux persistent.
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