Le Salon de l’herbe évolue. L’objectif de l'édition 2012 qui se tiendra à Novoitou (35) les mercredi 23 et jeudi 24 mai 2012 est de répondre plus précisément aux attentes des éleveurs en termes d’informations techniques. Les organisateurs entendent poser les premières bases de ces évolutions, en élargissant les cultures à toutes les plantes destinées à optimiser la production de fourrage sur la ferme. Quant aux thèmes des Pôles Techniques, ils seront recentrés sur trois problématiques d’actualité.
Salon de l’Herbe 2012 : "des informations et conseils techniques plus accessibles pour les agriculteurs"
« Bien entendu, il n’est pas question de changer une formule qui marche » prévient Frédéric Bondoux, Commissaire Général du Salon de l’herbe (en photo ci-contre). Les démos en live, sur 25 hectares de RGA tardif, autour de la récolte et de la valorisation des fourragères, restent un pilier fondateur du salon. Aujourd’hui, le salon renforce sa différence, source de son succès, pour rester l’unique événement où le visiteur peut trouver tout pour la culture et la valorisation des fourrages de la semence à la ration. C’est d’abord au niveau du conseil technique que les organisateurs souhaitent, en accord avec les exposants, faire évoluer le concept. L’idée est de rendre plus accessible l’information en permettant aux éleveurs de venir avec leurs problématiques prendre conseil directement auprès d’experts.
Frédéric Bondoux précise que « le Salon de l’Herbe 2012 souhaite être moins dans la recette, mais davantage dans le sur mesure. Les techniciens et ingénieurs des instituts et organismes officiels sont là pour répondre à des problématiques individuelles et non plus seulement pour diffuser les résultats de leurs derniers travaux en date. »
Le Salon de l’Herbe 2012 souhaite établir un panorama complet de l’alimentation fourragère produite à la ferme
La 2ième évolution du Salon de l’Herbe version 2012 concerne l’élargissement du discours à d’autres cultures que les graminées prairiales et les légumineuses. Le Salon de l’herbe aura désormais pour vocation de renseigner les éleveurs, toujours très concrètement, non seulement sur la culture et la récolte de l’herbe mais également sur le stockage et la conservation de l’ensemble des fourragères produites à la ferme. L’édition 2012 verra la mise en place, touche par touche, de ce nouveau positionnement. Sur le salon, on parlera bien entendu toujours de ray-grass, de dactyle, de fétuque, de luzerne, de lotier, de sainfoin de la graine à la ration en passant par la récolte, mais on évoquera aussi le maïs fourrage, la betterave fourragère, le sorgho fourrager, le méteil sous l’angle du stockage, de la conservation et de la valorisation dans la ration. A terme, le Salon de l’herbe a vocation de devenir le salon en plein air et en conditions réelles de l’ensemble des plantes fourragères produites sur l’exploitation pour l’alimentation du cheptel.
A Nouvoitou, c’est autour d’une vitrine implantée en maïs, betteraves fourragères, sorgho que les ingénieurs et techniciens des instituts et des organismes officiels répondront aux questions des éleveurs se rapportant à la conservation, au stockage et à la valorisation de ces espèces, sous un angle économique. Frédéric Bondoux ajoute que les préoccupations des visiteurs du Grand Ouest, pour ce qui concerne l’alimentation de leur cheptel, vont bien au-delà de l’herbe. Pour leur offrir un panorama complet de l’alimentation fourragère produite à la ferme, nous nous devions d’aborder également les autres cultures.
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