2012ème robot Lely installé en France en mai 2012

En 2012, à l’occasion des 20 ans de la traite robotisée (1992-2012), Lely France a souhaité célébrer également ce 2012ème robot installé en France.

Pour marquer l’événement, le GAEC des Commandières a reçu un chèque cadeau d’une valeur symbolique de 2012€. Cette remise a eu lieu le 28 août 2012 en présence de C. Emery technicien Lely Center à Durtal, Carine et Philippe Bruneau éleveurs, P. Brossier Manager Lely Center à Durtal et H. Célard responsable marketing Lely France.

L’élevage GAEC des Commandières

Philippe Bruneau et sa soeur Carine ont pris la suite de leurs parents Claude et Marie-Jo, partis en retraite respectivement en 2003 et 2004. L’exploitation du GAEC des Commandières à Loigné sur Mayenne (53200) compte aujourd’hui 66 vaches laitières Prim’Holstein pour un quota de 520000 litres.

L’automatisation de la traite est arrivée dans l’élevage en mai 2005 avec l’installation d’un robot Lely Astronaut A2. Ce premier robot était déjà le 150ème robot en France et le 27^ème en Mayenne. La salle de traite datait des années 60. Le départ en retraite des parents avait fait passer la main d’oeuvre de 4 à 2 associés.

L’évolution de la technologie et le souhait d’investissement ont été les facteurs qui ont poussé Philippe et Carine à remplacer le robot A2 par un Astronaut A4 en mai 2012.

Selon le témoignage des éleveurs, le concept I-Flow du robot a engendré moins de stress, moins de bouses, une bonne fréquentation du robot avec un minimum de 2,5 traites/jour et des refus qui ont doublé passant de 0,6 refus avec le A2 pour atteindre 1,2 refus. Le confort de la vache est primordial pour qu’elles veuillent revenir plus souvent. Philippe apprécie également la facilité de changement des bidons dans l’armoire de l’Unité Centrale accessible depuis l’aire de contrôle.

Le robot de traite permet une souplesse et une optimisation de la main d’oeuvre. Les conjoints de Philippe et Carine travaillent à l’extérieur et sont chefs d’entreprise avec des salariés (plomberie/électricité et salon de coiffure). Cela implique que les exploitants doivent s’occuper des enfants (aller les chercher à l’école etc…).

Avec la flexibilité que permet le robot de traite, il est possible de terminer une journée à 17h au lieu de 20h en hiver par exemple.

Et Philippe de rajouter : « Il n’y a plus de réveil le matin depuis l’installation du A2 !»

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