Jean-Philippe Girard succède à Jean-René Buisson à la tête de l'ANIA

A 54 ans, cet autodidacte et entrepreneur Dijonnais compte, à son actif, 33 années dʼexpérience dans le secteur agroalimentaire.

Après avoir débuté sa carrière aux Grandes Minoteries Dijonnaises, il a pris les rênes de la direction qualité et développement du groupe Interfarine quatre ans plus tard.

Président Directeur Général d’Eurogerm qu’il a fondé en 1989, il dirige aujourd’hui plus de 200 personnes impliquées dans la recherche, le développement et la commercialisation d’ingrédients destinés aux industriels de la meunerie et de la boulangerie. Jean-Philippe Girard assure également la fonction d’administrateur de l’ANIA depuis 2002.

Homme de terrain, Jean-Philippe Girard expérimente chaque jour, au sein de son entreprise, les grands enjeux du secteur qui forgent sa compétitivité économique et son image.

Les relations commerciales au sein de la filière, les problématiques environnementales, sociales, de santé ainsi que les relations avec lʼamont agricole et les échanges extérieurs, sont autant de sujets sensibles sur lesquels Jean-Philippe Girard entend intervenir avec force et conviction, « appuyé par une ANIA à la gouvernance repensée, pour encore plus dʼécoute et dʼefficacité ».

Reconnu pour sa flexibilité, sa réactivité, son sens du dialogue et sa fermeté, Jean- Philippe Girard a comme priorité de « mettre lʼANIA au coeur des enjeux du Gouvernement et du Parlement, en rendant son action plus claire et lisible pour le grand public ».

A lʼorée de ses 3 ans de mandature, Jean-Philippe Girard affiche une ambition claire : « mettre en oeuvre, avec tous les membres de [son] conseil dʼadministration et les Fédérations, une stratégie inspirée par le terrain, depuis le territoire, pour la réussite du Territoire. »

« Quelle que soit la taille et la géométrie de nos entreprises, nous devons agir pour le bien, la croissance et la rentabilité de tous. Et pour se faire, mettre en place tous les leviers disponibles pour relancer la croissance et lʼemploi, restaurer nos marges et construire des relations nouvelles avec lʼamont agricole et lʼaval. (…) Nous devons communiquer notre fierté dʼêtre industriels ».

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