L’AATF a initié des partenariats dans le domaine des biotechnologies dont voici quelques exemples : le niébé Bt résistant à l’insecte Maruca ; le maïs économe en eau en cas de sécheresse modérée (projet WEMA) ; le riz utilisant plus efficacement l’azote du sol ; la banane résistante au feu bactérien dans la région des Grands Lacs.
« Il existe une idée romantique que les agriculteurs africains devraient continuer à utiliser les semences héritées de leurs ancêtres, et pas les semences améliorées par des techniques conventionnelles ou biotechnologiques », ajoute le docteur Mataruka. Il indique que ces semences ancestrales sont certes des richesses, mais qu’elles « doivent être aussi améliorées et/ou stockées dans des banques de gènes pour conserver la biodiversité ». En parlant des biotechnologies végétales, il conclut que « cette technologie est complémentaire aux approches d’amélioration classiques mais que ce n’est pas une panacée. »
Voir le texte complet à l’adresse suivante : http://greenbio.checkbiotech.org/news/role_genetically_modified_crops_africa
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