Quel avis sur l’automoteur Triotrac après 21000 heures d’utilisation ?

L’exploitation agricole allemande a été le premier client de la première génération du Triotrac de Trioliet. C’est le 14 février 2008, que la machine a été mise en service dans cette ferme laitière composée de 1080 vaches laitières et d’une suite de 900 jeunes bovins. Douze chargements sont effectués chaque jour, pour mélanger 50 tonnes d’aliments par jour (18250 tonnes par an). Après 9.5 années, il est temps de remplacer le mélangeur automoteur. Et pour le remplacer l’entreprise a fait le choix, de se tourner à nouveau vers un Triotrac Trioliet.

Pourquoi ce choix ?

Le propriétaire Mr Fleischer explique : « La machine a bien fonctionné pendant toutes ces années. Le nouveau Triotrac est l’une des seules machines sur le marché à pouvoir chercher l’ensilage jusqu’à six mètres de haut. Et puisque nos silos d’ensilage mesurent 5.5 mètres de haut, nous nous rapidement à nouveau tourné vers un Triotrac. »

De plus le gain de temps n’est pas négligeable comme l’explique Mr Fleischer : « Jusqu’en 2008, nous utilisions un automoteur mélangeur d’une autre marque de 14 mètres cubes. Nous faisions alors 12 chargements par jour et il fallait au moins sept heures de travail pour réaliser toutes les rations. Maintenant avec le Triotrac nous consacrons moins de 5 heures de travail par jour. »

Ce gain de temps permet à l’exploitation d’économiser 14 heures de travail par semaine. Avec une machine qui consomme 4 litres de GNR par heure. C’est une économie de carburant de 28 litres par semaine.

Au niveau de la maintenance ?

Au cours des 10 dernières années, diverses pièces ont été remplacées, spécialement les couteaux et le bol mélangeur. Mais pour une machine qui tourne 365 jour par an et 5 heures de travail par jour, la maintenance c’est quelque chose de normal pour son propriétaire.

Le seul point négatif de cette machine pour son propriétaire c’est prix d’achat qui reste très élevée. Mais encore une fois pour une machine qui tourne 365 jours par an et 5 heures de travail par jour, ce n’est pas aberrant. Surtout quand Mr Fleischeir compare à d’autres matériels de son exploitation notamment sa moissonneuse qui tourne que 1 mois par an.

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