Vincent Delattre présente son unité de méthanisation voie sèche. Il valorise ainsi son fumier en électricité et la chaleur alimente des bassins de spiruline.
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La fermentation par voie sèche se réalise dans des cellules fermées hermétiquement. Elle est adaptée à des biomasses solides ayant au moins 35% des matériaux secs. La logistique est très proche de celle du compostage, à la différence qu’ici, la matière est mise en condition anaérobie.
En comparaison avec la fermentation liquide, les exigences de qualité de la matière première sont faibles. Tous déchets organiques solides, tels que coupes et tontes de végétaux, excréments ou biodéchets alimentaires peuvent convenir. Aucun tri ou prétraitement particulier n’est nécessaire. Ainsi, la consommation énergétique du processus est très faible. Un suivi normal permet de garantir un taux minimum de 50-60% de méthane dans le biogaz.
Tout comme dans la méthanisation par voie liquide, le biogaz produit peut être épuré et injecté dans le réseau de gaz naturel, utilisé comme carburant ou encore transformé en chaleur et électricité. Le digestat peut constituer également un excellent amendement organique pour le sol, directement ou après compostage.
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